Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, fréquence et vibration. Nicolas Tesla
Bien que je ne sois pas une vraie spécialiste de la science telle qu’on la définit officiellement, le bon sens et la logique de la simplicité d’une science authentique me parait important à exposer. Car c’est à partir de la description qu’on se fait du monde que l’on opère. Bruce Lipton a appelé cela la biologie des croyances. Ce que j’estime être une vraie science est intrinsèquement belle. La beauté, tout comme la vérité, guérit. Une vérité est simple à comprendre. Elle se suffit en elle-même. Les personnes matérialistes qui présentent des concepts compliqués et trop abstraits, remplis d’hypothèses mathématiques et de suppositions quantiques sont des prétentieux sans fondements. Ils cherchent à tout conceptualiser et à quantifier (‘quantum’) ce qui n’a pas de fondement dans la réalité, au détriment de la qualité, de l’expérience; alors on rentre dans un système de croyances, et la science est devenue une vraie religion. Nicolas Tesla a dit que vous pouvez être très intelligent et penser profondément mais en même temps être profondément fou. La prétention des sciences officielles, non basées sur l’observation directe de la Nature, non basées sur la prise en compte de l’observateur, et du processus d’observation sont de purs fantasmes. Le problème principal des sciences, même de l’univers électrique et de la cosmologie du plasma, évoqués dans cet article, est de ne pas prendre en compte la conscience. Une vraie science est animiste, et considère ainsi que l’entièreté du cosmos et tout ce qui le constitue, est vivant et conscient. Une science peut soutenir cela, les anciens le savaient.
La science tantrique, datant des temps les plus reculées, et qui reprend ce que les plus grands penseurs et mystiques des anciennes traditions à travers le monde ont dit, de manière différentes et contextuelles, est simple, belle et intégratrice. La Connaissance, Vidya, ou Sagesse, émerge dans l’unité de l’observateur, de ce qui est observé et du processus d’observation. L’unité dans la diversité, où le niveau non manifesté de l’Un et Trois ensemble est la base de la loi tantrique. L’un et les trois sont ensemble, et voilà l’état de Yoga.
Puisque tout est énergie au niveau fondamental de l’existence, et que toute énergie vibre à une certaine fréquence, tout ce qui existe peut être pensé comme une sorte d’onde avec sa propre fréquence vibratoire de résonance. La physique tantrique évoque la matrice vibratoire de l’univers en laquelle toute réalité vient s’inscrire, telle une vague dans l’océan, et la vie divine est une fontaine qui jaillit d’elle-même ; elle s’appelle Maya, l’apparence ou l’apparition (et non pas l’illusion), la matrice du Monde des Relations qui ne connait que la Conscience, la Beauté, la Félicité et la Vérité. La résonance et la géométrie forment la Beauté de la vérité. L’homme et le monde sont conçus comme une unité dynamique et non en termes de scission homme-univers ou matière-esprit. Tout est matériel, vos émotions, vos pensées, vos sensations ; l’Intelligence, le ‘nous’ des grecs et des gnostiques est matériel : l’acide nucléique. La conscience et la matière sont co-émergentes.
Ce qui est ici est partout, ce qui n’est pas là n’est nulle part Mahabharata
L’Ether
Un dieu primordial
Dans la mythologie grecque, Éther ou Æther (en grec ancien Αἰθήρ / Aithếr, de αἴθω / aíthô, « brûler ») est un dieu primordial.
Selon Hésiode, il est le fils d’Érèbe (les Ténèbres) et de Nyx (la Nuit), frère d’Héméra (le Jour), mais la tradition orphique en fait le fils de Chronos (le Temps). Hygin, en revanche, lui donne, dans la préface de ses Fables, pour parents les Ténèbres ou l’Obscurité et le Chaos, pour frère l’Érèbe, pour sœur Nyx, pour sœur et épouse Héméra avec laquelle il engendre à son tour Gaïa (la Terre), Ouranos (le Ciel) et Thalassa (la Mer). Enfin, s’étant uni à sa fille Gaïa, il enfante les dieux originels généralement attribués à Ouranos ou à Nyx : Algos (la Douleur), la Colère, la Mendicité, l’Intempérance, Neikos (les Disputes), Léthé (l’Oubli), l’Inceste, Océan, Thémis, le Tartare, Pontos (le Flot), puis les principaux Titans Atlas, Hypérion, Polos, Cronos, Rhéa, Moneta (semi-équivalent latin de Mnémosyne) et Dioné — et pour finir, les trois Érinyes.
Lui-même personnifie le Ciel dans ses parties supérieures. L’air y est plus pur et plus chaud. C’est celui qui est respiré par les dieux, contrairement à l’Ær (en grec ancien ἀήρ / aếr), l’air des parties inférieures du ciel, respiré par les mortels.
Plus tard, l’éther est représenté comme l’espace libre et indéterminé qui entoure notre atmosphère et qui se compose du feu élémentaire d’où naissent le soleil et les étoiles, et dans lequel les dieux ont élevé leur trône : comme être suprême et divin, les poêtes l’identifient avec Zeux. Dans ses Géorgiques, Virgile le nomme le père tout puissant, qui descend en pluie bienfaisante dans le sein de son épouse, qui l’attend avec joie.
Le cinquième élément d’Aristote
À l’origine, Éther est un dieu primordial de la mythologie grecque, personnifiant les parties supérieures du ciel, ainsi que sa brillance ; cela nous est resté au travers de la langue poétique classique, où l’on parle d’éther pour un ciel pur. Empédocle, a qui l’on doit la théorie classique des quatre éléments, parle fréquemment de l’éther comme d’une entité différente. Platon mentionne dans le Timée (58 d) l’éther comme « la forme de l’air la plus pure ». Aristote, dans son traité Du ciel, introduit un nouvel élément qui n’existe que dans la sphère céleste et dont la particularité est de se mouvoir en cercle sans avoir besoin d’une force extérieure.
Il est de toute nécessité qu’il existe un corps simple dont la nature soit de se mouvoir selon la translation circulaire, conformément à sa propre nature… En dehors des corps qui nous entourent ici-bas, il existe un autre corps, séparé d’eux, et possédant une nature d’autant plus noble qu’il est plus éloigné de ceux de notre monde.
Aristote, Du ciel, I, 2
Cette nouveauté, qui a créé bien de confusions, a fini par être assimilée à l’éther, sans que toutefois Aristote ait utilisé le mot pour la désigner. Étant le « plus noble », l’élément céleste n’est jamais désigné par Aristote comme le cinquième. C’est durant la période hellénistique, lorsque les textes d’Aristote sont plus ou moins soustraits à la circulation, que différentes interprétations amalgament ce qu’il nomme « le premier corps » à l’éther et aussi à la substance de l’âme.
Ocellos de Lucanie et Aristote aux quatre éléments ont adjoint un cinquième corps, doté d’un mouvement circulaire et dont ils pensent qu’il est la matière des corps célestes.
Aristote, Sextus Empiricus, Contre les mathématiciens, X, 316
Les Anciens ont unanimement regardé Aristote comme l’inventeur de la doctrine de l’éther cinquième élément. Aristote a toujours la suite éther, feu, air, eau, terre, et c’est l’ordre qui prévaudra, l’éther (et non le feu) étant alors considéré comme la matière des astres et l’élément où ils séjournent. L’âme est un mouvement perpétuel parce qu’elle est tirée de l’éther qui court toujours. Enfin, cet éther aristotélicien est une chaleur, il est principe de chaleur, donc de vie. »
Les pythagoriciens récents, dans les Mémoires pythagoriques (IIIe s. av. J.-C.) semblent admettre trois éthers :
1) le chaud (le feu solaire astral et divin),
2) le froid (l’air)
3) le dense (l’eau, le sérum, le liquide, le sang…),
et deux sortes d’âmes :
1) une âme faite d’éther chaud, l’intellect (correspondant à la vie animale),
2) une âme faite d’un mélange de deux éthers, chaud et froid, vapeur, l’âme végétative (correspondant au non-vivant, c’est-à-dire au non-sentant et non-mobile).
Le substrat du son
Dans la théorie des cinq éléments de l’Āyurveda l’espace ou l’éther sont caractérisés principalement par le son (śabda). Les écoles de philosophie indienne āstika Nyāya et Vaisheshika établissent l’Ākāśa comme le cinquième élément constituant la substance physique, lequel est le substrat qui a la qualité du son. Celui-ci est indivisible, éternel, tout pénétrant et imperceptible. Dans le Sāṃkhya, Ākāśa est connu comme un des cinq Mahābhūta (grands éléments), produit par le tanmatra (élément subtil) du son (śabda). (voir l’article Conscience à la carte: les Tattvas)
D’après les philosophes de l’Inde, l’univers tout entier est composé de deux substances. L’une est l’âkâsha ; c’est l’existence omniprésente, qui imprègne tout. Tout ce qui a forme, tout ce qui est le produit d’une combinaison provient de cet âkâsha. C’est l’âkâsha qui devient l’air, qui devient les liquides, qui devient les solides ; c’est l’âkâsha qui devient le soleil, la terre, la lune, les étoiles, les comètes ; c’est l’âkâsha qui devient le corps humain, le corps des animaux, les plantes, toutes les formes que nous voyons, tout ce qui peut tomber sous nos sens, tout ce qui existe. Il ne peut pas être perçu, il est si subtil qu’il échappe à toute perception ordinaire ; on ne peut le voir que lorsqu’il s’est épaissi, lorsqu’il a pris forme. Au début de la création, il n’existe que lui ; à la fin du cycle, les solides, les liquides et les gaz se fondent tous à nouveau en l’âkâsha, et la création suivante proviendra de même de cet âkâsha.
Quelle est la force qui, de cet âkâsha, confectionne l’univers ? La puissance de prâna. Tout comme l’âkâsha est la substance infinie et omniprésente de cet univers, de même le prâna est la force infinie et omniprésente qui s’y manifeste. Vivekananda
La subtilité transmetteuse
En physique, le terme d’éther a recouvert plusieurs notions différentes selon les époques. Les différents éthers considérés par les physiciens sont « des substances subtiles distinctes de la matière et permettant de fournir ou transmettre des effets entre les corps ». Ces effets divers ont été les trajectoires des planètes (pour Descartes), la transmission de la force gravitationnelle (Isaac Newton), le transport de la lumière (depuis Descartes, Robert Hooke, Newton et bien d’autres jusqu’au début du XXe siècle), le transport de la force électrique, magnétique, et ensuite du courant électromagnétique, voire de la création de charge électrique chez certains corps, ainsi que la création d’une force répulsive, autour des corps, contrecarrant la gravitation (pour Pierre-Simon de Laplace expliquant les phénomènes gazeux.
Le médium
Voici une partie de la vision néo platonicienne de l’Univers, expliquée par Ken Wheeler.
Il n’existe que 2 dimensions, une qui engendre l’espace et le volume, et un anti-espace d’énergie pure. L’univers est gouverné par des champs et leurs pressions. Il n’y a qu’un seul champ et différentes modalités de champ distinguées par leurs attributs. L’éther est un médium.
Un champ est une modalité de perturbation de l’éther, qu’elle soit radicale, circulaire, transverse, spatial ou anti-spatiale. Toutes les modalités de champ sont gouvernées par une force et un mouvement, et l’inertie et l’accélération ; de même pour la matière par capacitance (électrique), résistance, perméabilité et permittivité (constante diélectrique).
Les termes force, magnétisme et espace sont tous les trois la même chose. Le magnétisme est une divergence centrifuge. C’est une force et un mouvement. Il n’y a pas de distinction entre électricité, diélectricité, magnétisme et gravité. Il ne s’agit pas de quatre choses différentes car elles sont déjà unifiées, ce sont les faces différentes d’une même pièce.
L’hyperboloïde diélectrique et le torus magnétique sont tous les deux ensemble la paire conjuguée du cosmos entier et les deux sont Un. La force et le mouvement, magnétisme, et l’inertie et l’accélération, diélectrique, la divergence magnétique centrifuge et la convergence diélectrique centripète (ou la soi-disant ‘gravité’).
La gravité n’existe en aucune manière en tant qu’entité séparée, ce phénomène est simplement une accélération mutuelle de masse autour d’un point source. La gravité relève de ce qu’on appelle faussement, l’attraction magnétique. La gravité est une attribution, c’est pourquoi elle n’est pas réplicable. La gravité et les particules ne peuvent pas expliquer l’action instantanée à distance, l’induction de pouvoir sans fil, ni aucun autre phénomène de l’univers avec ces abstractions. Il n’existe pas de particule, ou il n’en existe qu’une. La soi-disant attraction magnétique n’existe pas du tout. Le magnétisme est force et mouvement, ce phénomène d’attraction est une accélération diélectrique du point source et en rien différent de la soi-disant gravité. Ces deux là sont distingués seulement par leurs attributs. Seuls les enfants sont déconcertés par le fait que la glace, la brume et le ruisseau sont des choses séparées. Tous les champs ne sont en fait qu’Un, entier et distinct/divisé/séparé seulement par attributions, juste comme la glace, la brume et le ruisseau ne sont seulement que des expressions et des modalités différentes de pression et de température de l’eau. La Nature gouverne tout par pression.
Les fans quantiques appellent l’écume quantique ou matière/énergie noire ce qui est connu depuis des millénaires en tant qu’éther, ou akasha, ou l’espace, lui-même une création du magnétisme. Tous les plus grands génies de la théorie électrique ont reconnu l’éther (Tesla, Faraday). L’éther est Cela. Tat Vam Asi. Tout est éther, tout est une modalité de perturbation de l’éther. L’espace n’a pas de propriété. Le temps est une mesure de magnitude. Il ne peut donc être question de plier l’espace et le temps.
Lancez une pierre sur l’eau et vous verrez deux choses qui ne font qu’une : une goutte émerge de la surface et des ondulations, des vagues rayonnent vers l’extérieur. Les eaux sont comme dans l’Ether, mais sans surface. La goutte et les ricochets sont hors et au sein de l’Ether lui-même. Le plus de transfert d’énergie vers les eaux, l’Ether, moins il y a de ricochets ondulatoires, tout comme le plus la fréquence de la lumière est haute, le plus petit est l’espace, et plus grand est la capacité, la capacitance, le pouvoir. La puissance est vraiment dans le contre espace, pas dans l’espace. L’espace, comme une ombre, ne possède pas de propriétés, seulement des attributs. L’espace, comme une ombre (absence de lumière), n’est pas une chose, mais une privation de chose. La puissance est l’Un, et est non manifesté dans le contre espace. Son mirage holographique est le résultat du magnétisme, l’espace, qui est vide et impotent.
La particule fondamentale elle-même est un phénomène semi-stable qui n’est pas différent que ce que les humains appellent un ‘trou noir’. Les perturbations pulsantes et rayonnantes diélectriques du circuit de la lumière clignote au sein et en dehors de l’existence parce qu’elle sont de très faible puissance. Toutes les matières de n’importe quels des éléments amplifiés sont mutuellement accélératrices. Les trous noirs galactiques émettent à leur axe polaire d’infinis trillions sans nombre de ‘trous noirs’ microscopiques, le proton, ou l’énergie de la lumière ultra élevée, un ‘trou dans l’éther’, littéralement, juste comme le magnétisme, qui est la force elle-même, crée le mirage toroïdal d’un trou dans l’Ether que les humains appellent espace. Les anciens ont dit d’innombrables fois ‘tout est lumière’, et en cela ils étaient littéraux.
La lumière ne bouge pas, ni n’est une émission, ni une particule, ni une onde (une onde n’est pas une chose, mais plutôt ce que fait une chose), ni une ‘dualité’ d’onde de particule ; la Nature ne contient aucune dualité, qui implique des contradictions inhérentes.
Il n’existe pas de cause première, ni de péché originel, ne les cherchez pas et ne produisez pas d’idée de dualité dans la Nature.
L’Univers électrique
Le big bang est juste une hypothèse, qui n’a en fait pas de fondement ni scientifique, ni expérimental, mais elle s’est pourtant rigidifiée en un dogme religieux. On interprète ce qu’on voit à la lumière de ce qu’on croit. Ce que les scientifiques supposent dépend de ce qu’ils croient. La croyance fondamentale dans la science de l’espace avec laquelle les scientifiques modèlent le cosmos depuis plus d’un siècle est la gravité, ignorant complètement l’électromagnétisme et le plasma. Depuis quelques années, les astronomes ont reconnu que les champs magnétiques jouent un rôle significatif d’organisation à toutes les échelles de l’univers. La raison pour laquelle le magnétisme cosmique et la gravité leurs semblent inexplicables est parce qu’ils ignorent les courants électriques remplissant le cosmos.
Quand les champs magnétiques bougent en relation avec les autres, ils génèrent des courants électriques les uns dans les autres. Dans les laboratoires plasma, les courants électriques et le plasma prennent la forme de paires de filaments torsadés qui suivent la direction des champs magnétiques environnants. Le courant filamentaire est isolé électriquement de son environnement.
L’espace est rempli d’un réseau de courants, qui transfert l’énergie et la puissance sur de très grandes distances. Les courants se resserrent souvent en filaments ou en courants de surface. Ces derniers ont tendance à donner à l’espace, et aussi à l’espace inter stellaire et inter galactique, une structure cellulaire.
Hannes Alfven (Prix Nobel) Cosmologie dans l’Univers Plasma
Les étoiles se forment comme des perles sur un fil le long d’un vaste réseau de filament, et non par un effondrement gravitationnel. Ces filaments s’étendent sur des millions d’années lumières en connectant des galaxies individuelles et même des groupements de galaxies, inférant l’existence d’un champ magnétique. Ces courants sont des courants Birkeland en spiral qui accélèrent les particules chargées de manière circulaire.
Les cosmologistes ont calculé la vitesse à laquelle l’espace devrait s’étendre aujourd’hui en observant l’ancienne lumière émise durant la recombinaison. La lumière présente un jeune univers parsemé de taches formées à partir d’ondes sonores ballotées au sein du plasma primordial. Si la recombinaison se passait plus tôt que supposé à cause de l’effet d’agglomération des champs magnétiques, alors les ondes sonores n’auraient pu se propager aussi loin auparavant et les taches résultantes auraient été plus petites. La conséquence est que des taches plus petites signifie une déduction du taux d’expansion cosmique plus élevé – amenant le taux supposé plus proche des mesures de la vitesse à laquelle les supernovæ et les autres objets astronomiques semblent en fait s’écarter. Quanta magazine.org
La ‘découverte’ de l’accélération de l’univers en expansion est une interprétation basée sur l’ignorance totale sur la nature réelle des étoiles et des supernova type 1a (effet ‘chandelle standard’), supposées êtres engendrés par une série hypothétique d’évènements incroyables impliquant une étoile naine blanche. Mais comme je l’ai montré, une supernova est l’explosion électrique d’une étoile qui tire son énergie d’un circuit galactique. L’effet de ‘chandelle standard’ et la courbure de la lumière sont simplement dus aux paramètres du circuit des lignes de transmissions galactiques qui alimente toutes les étoiles. Wal Thornhill holoscience.com
Dans l’univers électrique et la cosmologie du plasma, l’origine et l’étendue de l’univers sont inconnues et la nature électrique des étoiles et des galaxies le long d’un réseau de filaments Birkeland explique le soi-disant magnétisme cosmique. Seuls les courants électriques créent des champs magnétiques. L’espace est fondamentalement électrique par nature.
Le Son créé la Forme
Les ondes Faraday
Les ondes Faraday, appelées ricochets Faraday, nommées d’après Michael Faraday (1791–1867), sont des ondes stationnaires non linéaires qui apparaissent sur des liquides contenus dans un réceptacle qui vibre. Lorsque la fréquence vibratoire dépasse une certaine valeur critique, la surface plate hydrostatique devient instable. Cela est appelé l’instabilité Faraday. Faraday l’a décrit dès 1831. Ce phénomène explique des stries à la surface du vin dans un verre qui sonne comme une cloche, et aussi le phénomène ‘fontaine’ dans un bol chantant.
Les ondes Faraday sont utilisées dans des modèles à base liquide pour diriger l’assemblée de matière molle, de corps solides, d’entités biologiques (cellules individuelles, cellules sphériques..) Contrairement au modèle solide, le modèle liquide peut être changer dynamiquement en accordant la fréquence vibratoire et en accélérant et en générant des séries de schémas périodiques et symétriques.
Ce phénomène est aussi utilisé par les alligators pour appeler leur partenaire. Ils font vibrer leurs poumons à une fréquence basse juste en dessous de la surface de l’eau, provoquant le mouvement de leur crête et ainsi des vagues à la surface de l’eau.
La Cymatic
Cymatic est un terme pour la forme de vibration qui a lieu sur la surface d’un objet quand il est excité par un son. Cela est basé sur le principe que lorsqu’un son rencontre un medium, cela imprime un schéma invisible d’énergie acoustique quand le son est rendu visible par un certain nombre de techniques spéciales. Cela créé souvent des formes géométriques fondamentales. Les sons harmonieux et beaux engendrent des modèles beaux et harmonieux ; inversement, les sons inharmonieux et pénibles engendrent des motifs distordus. (voir les travaux d’Emoto)
Cette vidéo de résonance est effectuée avec du sable UV. Certains tons résonnent avec la plaque de métal qui créé la formation des ondes. Ces ondes s’imbriquent les unes dans les autres à certains points ce qui fait que les ondes s’annulent elles-mêmes. C’est à ces points que le sable prend forme. La plupart des transitions que vous voyez entre les formes sont naturelles, sans avoir été retouchées. Il n’y en a seulement que 2 ou 3 qui ont été fusionnées. Les tons, ici remplacés par de la musique, sont très élevés et varient légèrement les uns des autres.
La cellule d’eau holographique
L’eau est l’architecte de la Nature. C’est l’élément actif qui bouge et sculpte la vie. Nous pouvons voir la surface de l’eau et les réflexions qui rebondissent jusqu’à nos yeux mais au sein de l’eau elle-même repose un monde mystérieux d’inertie et d’intention, un monde qu’on peut voir à présent. Les faces de l’Eau est une technique d’imagerie qui révèle le flot libre et la forme tridimensionnelle qui existe dans l’eau. Toutes les images sont des ondes sonores passant dans l’eau. Nous pensons en premier au son comme un outil de communication, mais l’eau utilise aussi les ondes sonores pour créer des formes tridimensionnelles. Beaucoup de théories scientifiques concernant l’origine de la vie sur terre associent les vibrations et les fréquences avec la création des formes dans la Nature.
‘Les secrets de la Cymatic’ est une présentation inspirante menée par le chercheur de physique acoustique John Stuart Reid, filmé à la conférence sur l’eau à Sofia en Bulgarie en Octobre 2016, sur la physique, la chimie et la biologie de l’eau. Il existe une véritable émergence de la science de la cymatic.
L’instrument utilisé par John Stuart Reid permet de rendre le son visible dans une cellule de visualisation qui contient de l’eau. Une périodicité sonique est imprimée sur l’eau. L’eau est le seul liquide à pouvoir fournir de telles images appelées cymaglyphes, une image du son imprimée dans une molécule d’eau. Celle présentée ici n’a pas du tout été retouchée. Cette molécule vibre à 22.2 hz. Elle possède une propriété holographique.
De grandes implications et applications en médecine, dans le bien être, sont envisagées : la thérapie du son est un système qui est utilisée aujourd’hui avec la thérapie par ultra son, elle même utilisée quotidiennement dans les hôpitaux.
Principe holographique : l’information totale contenue dans un volume d’espace correspond à une quantité égale d’information contenue aux frontières de cet espace. Zimmerman Jones
Le son audible et toutes les fréquences de l’électromagnétisme sont sphériques dans leur forme spatiale. Si on agrandit n’importe quel point de la surface de la bulle, nous trouvons la même donnée vibratoire qui existe en tout point de la bulle. En cela le son est holographique. La molécule d’eau possède une membrane, comme une cellule, elle est en fait une cellule d’eau. Une membrane fluide compresse les périodicités soniques incidentes dans un rapport gouverné par les densités relatives du médium fluidique et sonique.
La donnée sonique est identique en tout point, seule l’intensité de la donnée varie en différents points.
La fréquence émotionnelle
Les sentiments et les émotions sont vibratoires. Alors qu’on maintient un sentiment ou une émotion, on maintient un schéma vibratoire dans le cristal liquide de notre corps. Alors que le ton la fréquence) monte ou s’élève, le schéma change, devenant plus complexe, plus beau. Lorsque la fréquence baisse, le schéma redevient simple.
Le mouvement est une fréquence, tout ce qui possède une substance possède une fréquence, et même si on ne peut pas le voir bouger, il bouge en vertu des molécules qui le constituent, parce qu’elles bougent toujours vers leur fréquence d’ajustement spécifique. Les pensées ont un mouvement même si ce n’est pas le mouvement tel qu’on le conçoit habituellement. Ainsi les pensées ont un pouvoir.
Le ressenti est l’eau ; pensez à la sensation que vous ressentez quand certaines émotions surgissent. Ensuite, pensez aux fréquences. Certaines fréquences vibratoires résonnent avec d’autres fréquences et la sensation ressentie est comme une vibration. Elle possède sa propre signature vibratoire. Ainsi il existe des fréquences qui affecte nos émotions parce qu’elles imitent la même sensation. L’eau change de forme, comme le font nos émotions. Nous sommes constitués principalement d’eau.
Résumé par la Beauté
J’ai tenté au travers de ce petit peu de science de vous amener jusqu’au visionnage de la vidéo ci-dessous qui montre des images des étoiles et des planètes (étoiles errantes) au-dessus de nos têtes chaque nuit. Cette vidéo est mélangée avec des images de Cymatics, Sonoluminescence, Bioluminescence, Résonance harmonique de l’eau, la Lumière et le firmament électromagnétique et les eaux d’en haut.
La Cymatic ou la résonance des fréquences sonores dans l’eau ressemble au motif pulsant d’une étoile réelle lorsqu’on zoom dessus.
Etymologie du mot planète : (1119) Emprunté au latin planetae (« astre mobile, planète »), issu, par changement de déclinaison, du pluriel planetes, lui-même emprunté au grec ancien πλανήτης, planếtês : “errant vagabond”. Dans l’astronomie ancienne, on appelait “planète” un astre errant par opposition aux étoiles fixes. Les 7 planètes étaient le soleil, la Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. La vidéo et la définition même du mot planète montrent que les planètes sont des astres lumineux, des étoiles, et non une terre ferme, vu d’ici. Chaque étoile pulse sous des formes et des fréquences différentes. et c’est magnifique.
ST, Cycle de Bhairavi Vajrayogini, juillet 2020, Provence
Sources :
Wikipedia
l’univers électrique et cosmologie du plasma : https://www.youtube.com/watch?v=QBsBUypc1VE
pour en savoir plus : https://www.thunderbolts.info/wp/eu-guides/eg-contents/
Ken Wheeler : https://www.youtube.com/watch?v=FSddNdsRaEw
conférence de John Stuart Reid, science de la Cymatic : https://www.youtube.com/watch?v=uMK3OVBjx2Q
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