Viktor Schauberger (1885 -1958) était un authentique génie, qui inspire encore aujourd’hui toutes les différentes facettes du Géobiotantra. Naturaliste autrichien et un pionnier de l’écotechnologie (coopération avec la Nature), il voua sa vie à démontrer combien la désacralisation de notre environnement procède de notre ignorance totale de la manière dont la Nature opère sur le plan énergétique. Sa conviction était que l’humanité doit commencer, avec humilité, à étudier ce que la Nature enseigne au lieu d’essayer de la corriger. Il possédait une approche globale de la Nature. Le désir de Schauberger était de contribuer à la guérison de la Terre et à la restauration de la Nature. Comme ses contemporains Nikola Tesla et Wilhelm Reich, Schauberger était bien en avance sur son temps par sa conception du juste rapport entre le Chercheur et la Nature ; il fut l’inventeur du biomimétisme.
En dépit, ou peut-être en raison de sa scolarité interrompue, Schauberger conserva une grande soif de connaissance. Sa femme considérait comme familialement gênante sa tendance à veiller toute la nuit, absorbé dans l’étude d’ouvrages divers, notamment les plus ésotériques. Il était attiré par tous les sujets. En témoigne le fait que, souvent, il semblait rédiger dans un état évoquant la transe, avant de retrouver une conscience normale, bien surpris de ce qu’il venait d’écrire. La Nature produit les génies en les conseillant… En raison du déterminisme scientifique dominant, les modes de connaissance plus intuitifs sont considérés comme suspects, mais on assiste, dans toutes les couches sociales, au réveil d’individualités qui, désirant communiquer avec leur intuition, ont le sentiment que le rationalisme est en fait la Grande Illusion.
Garde forestier de métier, naturaliste et inventeur, Schauberger conçut une écologie en symbiose avec la nature bien avant la démarche contemporaine. Dès son plus jeune âge, il a refusé de participer à l’éducation traditionnelle et a préféré passer son temps dans les bois, où il a fait beaucoup de découvertes révolutionnaires en observant principalement l’eau, en qui il voyait, non seulement le support de toute vie, mais également celui de l’ensemble de la conscience terrestre. Il est aussi un des pères de la recherche hydraulique. Par l’observation des mouvements des poissons dans les torrents, mouvements qui défient les lois de la pesanteur, il alla jusqu’à calquer les principes physiques mis en jeu, en réalisant des prototypes de moteurs à implosion ne consommant aucun carburant. L’énergie libre !
Considéré comme le ‘magicien de l’eau’, son premier grand succès date de 1922, quand il a réussi à conduire des troncs d’arbres à partir de forêts de haute altitude dans la vallée sur des ‘glissades’ d’eau construites de façon innovante. Il était actif dans le domaine de la restauration des voies navigables ; ainsi sur la base des découvertes de Schauberger, plusieurs rivières en Autriche dans lesquelles l’eau avait un effet destructeur ont été récemment restaurées. Il apprit à réguler les cours d’eau en observant les torrents de montagnes et il inventa des dispositifs pour éviter les crus.
Il a reçu un prix pour ses réalisations et a suscité l’envie d’ingénieurs formés de manière conventionnelle. Son invention a été développée en Autriche, en Bavière et en Yougoslavie pendant quelques années, cependant, Viktor a été déçu de découvrir que son invention a abouti à la coupe à blanc des forêts ainsi qu’à la dégradation complète de l’environnement naturel. Tout cela pour le profit, la marque de l’inconscience, avec l’irrespect total du réseau de la vie.
De 1928 à 1935, Viktor Schauberger consacra beaucoup de temps à la mise au point d’un dispositif de production d’eau vive, à savoir de l’eau à structure améliorée, de l’eau structurée, cohérente, et de tous les minéraux nécessaires. Selon sa théorie, l’eau de source est le choix optimal pour la vie et la santé, car elle évolue dans un environnement préservé. En raison de l’interaction humaine et des autorités qui empêchent de plus en plus l’accès aux sources naturelles, le nombre de sources d’eau potables et intactes a diminué. D’autre part, la structure de l’eau disponible aux humains a été détruite en raison de son mouvement non naturel à travers des tuyaux droits en matériaux synthétiques, sa qualité a été détériorée par la chimie utilisée tant en agriculture que par les médicaments ingérés par la population, et par l’ajout de chlore cancérigène et de fluor, par toutes les municipalités, par ignorance et soumission aux règles des ennemis de la vie.
Les recherches de Schauberger se sont ensuite de plus en plus orientées vers le domaine de l’énergie. Il a ainsi développé la théorie de l’implosion en indiquant que la production d’énergie au moyen d’une explosion (moteurs à essence, énergie nucléaire) est destructive et nuisible à l’environnement. D’autre part, l’implosion signifie une augmentation de la concentration d’énergie. Des exemples typiques d’une telle énergie dans l’environnement naturel est le tourbillon, autrement appelé vortex, langage divin et phénomène que l’on retrouve du macrocosme au microcosme, et étudié tant en Géobiologie (géospirales) que dans le Tantra Yoga (chakras) ou encore en Bioénergie (embryologie, circulation sanguine..).
En 1958, un fond d’investissement l’a attiré aux États-Unis. Viktor a vu son émigration comme une opportunité pour le développement de la production d’énergie non-centralisée et respectueuse de l’environnement par l’implosion, cependant, il a réalisé plus tard que les intentions des investisseurs n’étaient pas honnêtes. Il a été forcé d’abandonner tous ses papiers et prototypes pour pouvoir retourner dans sa patrie, où il est décédé peu après son retour, ce qui n’est pas sans rappeler l’histoire de Wilhelm Reich.
Ses observations et sa vision du monde nous ont donné les clés nécessaires pour sortir de l’ornière environnementale dans laquelle nous sommes tombés. Ses intuitions ne se limitaient pas à la technologie et à la manière dont nous agissons, mais s’étendaient à la vie dans son ensemble. Si nous étions capables de comprendre que l’éducation, l’organisation sociale, la pensée philosophique, les religions, la médecine et les sciences sont toutes fondées sur une conception analytique et parcellaire du monde, nous percevrions combien, sur cette merveilleuse planète, l’existence serait plus passionnante et répondrait davantage à nos attentes, si nous pouvions échapper à notre vision matérialiste de l’Univers et accepter la place que nous occupons dans la Nature, où tout se tient.
Ses principales innovations :
- L’eau, disait-il, entité vivante si elle bouge, est capable de prouesses quant au maintien du biotope où elle circule et à ses capacités de créer la vie ;
- Les phénomènes énergétiques observés en biologie agricole où Viktor Schauberger a défini des protocoles de dynamisation avec usage de cuves ovoïdes et d’outils cuivrés sauvegardant capillaires, vie microbienne et eau de l’humus ;
- Les techniques de sylviculture où il fit comprendre la dynamique et la symbiose de la forêt avec l’eau, la fonction de l’arbre et son influence sur le climat général mondial, la formation des sols et de la nappe phréatique ;
- L’incidence humaine sur le climat planétaire et l’effet de serre ; dès 1933, il éditait ‘Notre travail stupide, insensé, origine de la crise mondiale’ ;
- Autre réalisation majeure, la construction de moteurs à implosion utilisant l’énergie émanant de tourbillons centripètes densifiant un fluide, eau ou air (image du tourbillon dans un évier se vidant) ;
- Puis allant de pair, une théorie de la relation entre l’énergie et la forme, notamment vortex et ovoïdes, dans ces espaces non linéaires (non euclidiens) que sont les tourbillons.
Cet article comprend des extraits non classés, tirés de l’excellent livre ‘le génie de Viktor Schauberger’ d’Alick Bartholomew et des citations issues d’Implosion Magazine et autres sources sur le net, sans élaboration de ma part. Ses découvertes passionnantes et sa vision humaniste sont autant de leçons de vie, de science, de philosophie, à contempler ou méditer, à partager et à appliquer…
Vision de la Nature
Où la science classique s’est-elle fourvoyée ? Dans l’observation inattentive des mécanismes de la Nature. Si elle avait procédé comme Schauberger, elle pourrait en formuler les lois pour s’y conformer, afin que la société puisse vivre en harmonie avec son environnement. Il déclarait souvent : ‘Comprenez et copiez la Nature’. Au lieu de cela, les scientifiques modernes pensent que nous lui sommes supérieurs et libres d’exploiter impunément les ressources de la Terre.
Tout ce qui est naturel est silencieux, simple et bon marché.
Il a amélioré notre compréhension de la place que nous occupons dans l’univers en proposant une vision du monde s’inscrivant dans une connaissance de la Nature qui intègre ces vécus sans recourir aux dogmes scientifiques, religieux ou philosophiques. Par l’intelligence des mécanismes naturels, nous pouvons commencer à situer notre expérience dans une vision du monde beaucoup plus large et passionnante. La vérité ne réside que dans la Nature omnisciente.
Une population libre ne peut grandir que sur une Terre libre. Tout peuple qui viole la Terre-Mère n’a pas le droit de posséder une terre à lui, car les races nobles ne peuvent pas survivre sur des sols détruits par la spéculation, c’est-à-dire parce qu’ils ont rompu tout lien avec la Terre. Les sociétés humaines sans racines périssent. Elles doivent emprunter la voie de la décadence jusqu’à ce que, comme aux engrais inadéquats, elles renoncent à leurs volontés obstinées; alors seulement, elles seront autorisées à repartir et reprendre le puissant cours de l’évolution.
Notre Terre Mère primitive est un organisme qu’aucune science dans le monde ne peut rationaliser. Tout ce qui rampe et vole sur Elle est dépendant d’Elle et tout doit périr si cette Terre meurt qui nous nourrit.
Le besoin d’équilibre éprouvé par la Nature est si impérieux qu’une fois que nous commencerions à coopérer sérieusement et sincèrement sur le plan écologique, nous serions stupéfaits de constater qu’elle nous le rendrait plus qu’au centuple.
Les phénomènes naturels non troublés par l’homme montre la voie vers la réalisation d’une nouvelle technique. La personne a besoin d’un sens de l’observation aigu. Nous devons comprendre la Nature avant de pouvoir adapter ses façons de faire à nos besoins.
Notre travail est l’incarnation de notre volonté. La manifestation spirituelle de ce travail est ses effets. Quand un tel travail est correctement fait, il amène la joie, et quand promulgué incorrectement, il amène assurément la misère. Humanité ! Ta volonté est essentielle ! Tu peux commander la Nature si tu lui obéit !
L’objectif de la Nature est la recherche de mouvement, de changement et d’évolution ; elle refuse la stagnation et l’uniformité.
Dans la Nature, dont les mécanismes dépendent du changement et de la transformation permanents, l’identité n’existe pas.
Seuls les gens qui l’aiment doivent prendre soin de la forêt. Ceux qui ne voient en elle qu’un objet de spéculation lui font beaucoup de mal, ainsi qu’aux autres êtres vivants, car la forêt est le berceau de l’eau. Si la forêt meurt, alors les sources se tariront, les prairies deviendront stériles et beaucoup de pays seront fatalement en proie à de tels troubles qu’ils seront de mauvais augure pour nous tous.
On admet parfaitement que seules les espèces inférieures de poissons puissent vivre dans une eau de mauvaise qualité; cela vaut également pour l’être humain. En permettant que les ressources naturelles de l’environnement se déprécient, inévitablement la qualité de notre potentiel s’abaisse.
Dans tous les cas, faites l’opposé de ce que fait la technologie aujourd’hui. Alors vous serez toujours sur la bonne piste.
Implosion Magazine, No. 36, p.3 (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Même dans ma plus tendre jeunesse, mon plus grand désir était de comprendre la nature, et ainsi m’approcher de la vérité ; une vérité que j’étais incapable de découvrir ni à l’école ni à l’église.
Jane Cobbald: Viktor Schauberger – A Life of Learning from Nature (2006)
Nous n’avons pas besoin de la science des formules, mais d’une science des formes.
Implosion Magazine, No. 124, p. 29. (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
L’énergie est la cause primaire. La forme est l’effet secondaire. L’énergie créé la forme dans laquelle elle souhaite se mouvoir. La forme est alors l’image projetée du flux d’énergie.
Nous confondons apparence extérieure et intégralité, l’effet et la cause. En réalité, ce que nous voyons n’est que l’enveloppe externe de la manifestation, l’empreinte de l’énergie créatrice de forme. Nous ne voyons pas l’énergie qui a créé l’organisme.
Mais l’erreur fondamentale de notre science, c’est de ne pas avoir vu que la Nature dispose d’énergie à sa convenance, que des êtres animés, gros ou minuscules déjouent les lois de notre science.
Un poisson ne nage pas mais est nagé. Un oiseau ne vole pas mais est volé. Les personnes qui, lorsqu’elles méditent, observent leur souffle, partagent le vécu d’une étrange sensation, celle d’« être une respiration» s’intégrant à la grande respiration du cosmos, ce que Viktor Schauberger confirmait souvent dans un style analogue, disant que l’oiseau « est volé» et que le poisson « est nagé », indiquant par là qu’ils ne sont pas les moteurs de leurs actes. De même, en maintes occasions, il déclarait que le cœur n’est pas une pompe, mais qu’il « est pompé ». Il le considérait plutôt comme un régulateur du flux sanguin. Ainsi, les ondées sanguines qu’il engendre pendant ses contractions sont davantage assimilables à des réactions automatiques induites par sa réplétion, comparables à des expirations.
Cette civilisation est la marque de l’homme qui est très autoritaire et ignorant des véritables fonctionnements de la Nature, qui a créé un monde sans signification ni fondation, qui menace à présent de se détruire lui-même, parce qu’à travers son comportement et ses activités, et alors qu’il devrait être son maitre, il a perturbé la Nature en tant qu’unité inhérente.
Malheureusement, les catastrophes ou les divulgations scandaleuses doivent arriver avant que l’humanité réalise que c’est seulement sa propre erreur qui l’a mené à son malheur. Elles en sont difficilement rattrapables, parce que pour la plupart elles ont été faites par les autorités, qui ne vont pas se suicider, mais afin de sauver les leurs, ils feront que toute la vie périsse avant qu’ils admettent leurs erreurs.
Implosion Magazine, No. 2, p. 23. (Callum Coats: The Fertile Earth)
Vous devez apprendre à penser à une octave supérieure. Seulement comme cela apprendrez-vous comment l’énergie fonctionne.
Implosion Magazine, No. 83, p.27 (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Je dois fournir à ceux qui protège et sauve la vie, avec une source d’énergie qui produit l’énergie d’une manière si peu chère que la fission nucléaire sera non seulement non économique, mais aussi ridicule. C’est la tâche que je me suis fixée dans le peu de vie qu’il me reste.
Viktor Schauberger in a letter to Aloys Kokaly in 1953 – Implosion Magazine No. 29, p.22 (Callum Coats: Energy Evolution)
Vous devez regarder les processus de mouvement dans le macrocosme et du microcosme précisément et les copier !
Implosion Magazine, No. 14, p.19 (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Tout est gouverné par une loi. Un être humain est un microcosme, c’est-à-dire que les lois imprégnant le cosmos opèrent aussi dans l’espace minuscule de l’être humain.
Implosion Magazine, No. 8, p.6 (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Si nous souhaitons influencer notre propre vie dans une direction particulière, qui est constamment menacé par le danger de l’émergence d’une forme de vie étrangère, et protéger de sa détérioration, alors nous devons soit laissez la nature gouverner ou, si nous désirons intervenir, nous devons nous accoutumés aux principes de vie les plus élémentaires.
Implosion Magazine, No. 86, p.11. (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Tout mouvement consiste en deux composants. Un composant sert l’intériorité (internalisation) et l’autre l’extériorité (dispersion). Les deux préconditions pour le mouvement régulent le flot éternel de la métamorphose (panta Rhei).
Implosion Magazine, No. 57, p.5. (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Si je suis un fou alors ce n’est pas un malheur, car alors il n’y aura qu’un seul fou qui errera sur cette Terre. Parmi les millions dérangés mentalement, il ne sera pas remarqué. Mais si je n’étais pas un fou, et si la science elle-même s’était égarée ? Alors la tragédie est incalculable !
Implosion Magazine, No. 51, p. 29 (Callum Coats: Water Wizard)
L’équivalence signifie l’uniformité et ainsi l’immobilité.
Implosion Magazine (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Notre monde naturel est par essence un et indivisible, mais l’être humain est condamné à l’aborder sous deux angles différents-celui de nos sens (perception) et celui de l’intellect (les idées). Un enfant ne fait qu’observer et s’émerveiller ; or, à mesure que notre pensée rationnelle se forme, on nous enseigne d’ordinaire à interpréter ce que nous voyons par le biais de la pensée d’autrui, afin de ‘comprendre’ notre vécu sensoriel. Il s’agit de deux formes de réalité mais, à moins que nous soyons capables de les unir de manière signifiante, le monde n’est pour nous qu’une énigme. C’est là, en fait, le défaut fondamental de l’actuelle société, et la grande faiblesse de l’orthodoxie scientifique dominante. Comme Schauberger le faisait remarquer : La majorité pense que tout ce qui est difficile à comprendre est nécessairement très complexe. C’est inexact. Ce qui est difficile à assimiler est immature, flou et souvent erroné. La plus noble connaissance est simple ; elle passe par le cerveau et va directement au cœur.
Magicien de l’eau
En fait, les mystères de l’eau sont similaires à ceux du sang dans le corps humain. Les fonctions normales sont remplies par l’eau juste comme le sang fournit beaucoup de fonctions importantes pour l’humanité.
Schauberger voyait dans l’eau une substance vivante, palpitante, qui anime toute vie animale, végétale et minérale. Il l’appelait « le sang de la Terre ». Qu’elle soit eau, sang ou sève (qui sont surtout constitués d’eau), elle est le constituant indispensable à toutes les formes de vie, de même que sa qualité et sa température sont déterminantes pour la santé. Quand elle est saine, elle présente une structure complexe qui lui permet de transmettre l’information, véhiculer l’énergie, les nutriments et opérer la guérison, pour s’autopurifier et éliminer les déchets. Il pensait que l’une des causes de la désintégration de notre culture est notre irrespect pour elle et le fait que nous la détruisions -la porteuse de vie car ainsi nous détruisons la vie elle-même. Il était également profondément convaincu que nos dangereuses technologies engendrent une eau appauvrie qui a perdu son énergie et sa capacité vibratoire et qu’elle est effectivement sans vie. Cette eau morte procure une nutrition inappropriée, aussi pensait-il que son énergie régressive est responsable de pathologies dégénératives comme le cancer, mais aussi d’une intelligence amoindrie et du bouleversement de la société.
La Gardienne des Cycles, qui entretient la Vie, est l’EAU. Dans chaque goutte d’eau réside une Divinité que nous servons tous ; y demeure aussi la Vie, l’Âme de la substance ‘Primordiale’ -l’Eau -dont les limites et les rives sont les capillaires qui la guident et dans lesquels elle circule.
Le tenant des cycles qui soutiennent toute la Vie est l’eau. Dans chaque goutte d’eau demeure une déité que nous servons tous en fait. Là y demeure aussi la Vie, l’âme de la substance primaire, l’eau, dont les frontières et les rivages sont les capillaires qui la guide et dans lesquelles elle circule. Chaque pulsation s’élevant des interactions entre volonté et résistance indique un travail créatif et nous incitent à prendre soin de ces vaisseaux, ces structures des plus primordiales et des plus vitales, dans lesquelles palpite le produit d’un pouvoir dualiste, la Vie.
Plus d’énergie est encapsulée dans chaque goutte d’eau de source que ce qu’une usine électrique n’est capable de produire actuellement.
Jeune homme, alors en quête d’inspiration dans la forêt, qu’il chérissait, Schauberger s’asseyait tranquillement au bord d’un ruisseau dont l’eau pure, évocatrice des origines, invitait à la méditation quand, à l’improviste, il constatait que sa conscience pénétrait le liquide et le mettait en communication avec une intelligence qui lui indiquait les mouvements à exécuter pour rester en bonne santé, et dans quelles situations. Ce vécu mystique lui apprit combien une eau saine est déterminante pour la création et l’entretien de toute vie. Elle doit se mouvoir en respectant une dynamique particulière et ne pas être surchauffée. Mouvement et température sont des critères clés en ce qui concerne l’eau et les êtres vivants.
Nous devons regarder dans des dimensions inconnues, dans la nature, dans cette vie inestimable et impondérable, dont le porteur et le médiateur, le sang de la Terre qui nous accompagne sans relâche du berceau à la tombe est l’eau.
Implosion Magazine, No. 103, p. 28 (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Quiconque accélère le média de la terre, de l’eau et de l’air de manière centrifuge périt inconditionnellement, parce qu’en faisant cela il réduit le Sang de la Terre (l’eau) à un état pathogène et en fait le plus dangereux ennemi de toutes les choses vivantes et croissantes.
Implosion Magazine, No. 96, p. 4. (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Viktor était toujours fasciné par l’eau. Un jour, accompagné de ses subordonnés, il atteignit un lointain plateau de hautes terres où une source légendaire s’échappait d’une construction délabrée en forme de dôme. Aussitôt, il ordonna qu’elle fût détruite pour des raisons de sécurité. C’est alors qu’un des plus anciens gardes l’avertit que si cet édifice était rasé, la source s’assécherait. Il prit note de ces remarques et, pour en vérifier l’exactitude, il demanda que l’édicule fût démonté avec soin, chaque pierre numérotée et sa place indiquée. Quand, environ deux semaines plus tard, il repassa en ce lieu, il constata que la source s’était effectivement tarie en raison de son exposition au Soleil. Il demanda immédiatement que la petite construction soit rebâtie telle qu’elle était et, quelques jours plus tard, la source recommença à couler. Il apprit ainsi que l’eau aimait la fraîcheur et l’obscurité.
La révélation du secret de l’eau va mettre un terme à toutes les spéculations et l’opportunisme et leurs excès, auxquels appartiennent les guerres, la haine, l’impatience et la discorde en tout genre. L’étude poussée sur l’eau signifie par conséquent la fin des monopoles, la fin de toute domination dans le sens le plus authentique du mot, et le début d’un socialisme s’élevant du développement de l’individualisme dans sa forme la plus parfaite.
Dans toutes les traditions symboliques, l’eau est en rapport avec les émotions ; ce sont elles qui nous ouvrent à la vie, qui nous rendent sensibles, réceptifs et compatissants. Elle a le pouvoir de stimuler la conscience et l’imagination ; les artistes l’aiment pour l’inspiration qu’elle leur apporte.
Viktor démontra que l’eau en tant qu’organisme est caractérisée par un cycle vital allant de la naissance à la mort en passant par la maturation. Quand elle est traitée de manière irrespectueuse ou manipulée dans l’ignorance, au lieu d’apporter vie et dynamisme, elle acquiert des propriétés délétères qui favorisent les processus pathogènes au sein des êtres vivants où elle est présente, entamant leur délabrement physique, et finalement leur mort. Parmi les découvertes de Schauberger, il en est une, très controversée, à savoir que l’eau structurellement affectée est le vecteur d’une énergie négative qui accélère la dégénérescence de l’être humain, dont le bien-être moral, psychique et spirituel est alors atteint.
Quand l’eau est parvenue à maturité, elle affiche des propriétés surprenantes. Viktor Schauberger démontra combien, lorsqu’elle est frémissante et saine, elle palpite, décrit des méandres et tourbillonne sur un mode très particulier qui entretient son dynamisme et sa pureté, lui permettant ainsi de remplir sa fonction de voie énergétique tout en véhiculant nutriments et déchets.
Les bouteilles d’eau vont bientôt être plus chères que le vin.
L’authentique eau de source contient une grande quantité de ‘carbones’ et de minéraux dissous. Sa haute qualité se manifeste souvent par de frémissants reflets bleuâtres. Née de l’infiltration de l’eau de pluie (qui s’ajoute aux gaz atmosphériques) et de l’eau provenant de la géosphère (enrichie par les minéraux, sels et oligo-éléments), c’est la meilleure eau potable, caractéristique qu’elle conserve souvent dans le cours supérieur d’une rivière montagnarde. Malheureusement, la mention commerciale ‘eau de source’ figurant sur les bouteilles n’est pas toujours un gage de la meilleure qualité-en effet, beaucoup d’eaux ne sont pas puisées à de vraies sources -même si le conditionnement s’effectue en bouteilles de verre au lieu de plastique (matière nuisant à sa qualité).
Il est ainsi possible de produire artificiellement une eau potable de qualité pour humains, animaux et plantes, mais en répondant aux critères de la Nature; de rendre le bois d’œuvre et autres matériaux analogues ininflammables et imputrescibles; de faire monter l’eau dans un tuyau vertical sans avoir recours à des pompes; de produire n’importe quelle quantité d’électricité et d’énergie rayonnante presque gratuitement; d’améliorer la qualité du sol et de guérir cancer, tuberculose et pathologies nerveuses . … La mise en œuvre pratique de cela nécessiterait sans doute une réorientation complète de tous les domaines scientifiques et technologiques. En appliquant ces lois nouvellement découvertes, je suis déjà l’auteur de quelques réalisations d’envergure destinées au flottage du bois, à la régularisation des cours d’eau, et qui fonctionnent parfaitement depuis une décennie, déconcertant encore aujourd’hui les spécialistes en hydraulique.
L’implosion
La technique qui n’utilise seulement que l’explosion ou l’expansion de forces est mortelle et hostile à la nature. Ce genre de technique doit manquer la force contraire naturelle ou la synthèse organique qui est une forme négative de qualité – le Vide Organique – qui réunit le polaire et l’augmentation à la faveur de l’émergence de formes de vie nouvelles.
L’implosion n’est pas l’invention dans le sens conventionnel, mais plutôt la renaissance de connaissances anciennes, perdue au cours du temps.
Implosion Magazine, No. 83, p.16 (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Les scientifiques déclarent que la pression est exercée vers l’extérieur dans toutes les directions de façon égale, alors que la pression naturelle (comme la pression de l’air) est exercée vers l’intérieur à partir de toutes les directions de manière égale.
Implosion Magazine, No. 114, p. 29 (Callum Coats: Energy Evolution (2000))
Viktor Schauberger, grand observateur de la Nature, découvrit que celle-ci s’appuie sur des alternances telles que : quantité-qualité, explosion-implosion, gravitation-lévitation, désordre (entropie) -ordre (néguentropie), centrifugence-centripétence, bruit-silence, ‘yang-yin’ … Les termes explosion, chaleur, désordre, bruit, etc. nous sont très familiers quant à la domestication de l’énergie, mais sont synonymes de destruction. À l’inverse, dans les alternances évoquées, la Nature qui crée la vie, mobilise l’énergie par : implosion, qualité, froid, ordre, silence … Viktor Schauberger a donc eu le courage de sortir de la science conventionnelle pour trouver une explication aux mystères de la Nature : il a redécouvert ce que renferme le principe du taoïsme, le yin-yang, toléré par les philosophes, mais dédaigné dans le rationalisme scientifique, à l’instar des ‘légendes folkloriques’.
Le mode dynamique sur lequel est fondée notre technologie engendre désordre, bruit et chaleur, qui rendent malades les êtres vivants et provoquent l’effondrement des structures. Si vous le désirez, visualisez ce qui se passe dans une explosion : la matière est tiraillée, morcelée et détruite. Il en résulte une dégradation de l’énergie. Par sa dépendance à l’égard du type de mouvement basé sur la décomposition de la matière, notre technique est responsable d’une pollution énergétique et d’une entropie énorme qui affectent dangereusement la biodiversité et l’équilibre indispensables à nos écosystèmes. Issus de cette technologie, nos mécanismes engendrent un mouvement presque exclusivement inducteur de chaleur et de friction, le plus rapide se situant à la périphérie (comme dans une roue), c’est-à-dire un mode dynamique propice à la désintégration, bruyant et inefficace ; c’est le processus-centrifuge-par lequel nous produisons notre énergie. À l’inverse, la Nature fait appel à une forme de mouvement centripète, tourbillonnaire, dirigé de l’extérieur vers l’intérieur, caractérisé par une vitesse croissante, qui refroidit, condense et structure (organise), favorisant l’émergence de systèmes plus complexes et plus nobles. Dans la Nature, la spirale est un type de mouvement fondamental, mais le fait que Schauberger ait identifié dans le vortex. Le système dynamique créateur majeur à l’œuvre dans l’univers est au cœur de son écotechnologie et la clé de ses précieuses recherches dans le domaine de l’implosion. De la tornade à la croissance des plantes, le même mécanisme naturel préside à la transformation de l’énergie, qui passe d’un plan à un autre. Lorsque, à propos de notre technologie, on demandait à Viktor : ‘De quelle autre manière faut-il s’y prendre ?’, il répondait : ‘Exactement à l’opposé de ce qu’on fait aujourd’hui’. Il comprenait que pour répondre aux besoins de l’humanité, la voie d’avenir potentielle résidait dans le fait de copier le mouvement vrillé centripète de la Nature.
ST, jour 24 du Cycle de Tara Bhudevi 2020, Provence
Sources :
https://quotes.yourdictionary.com/author/viktor-schauberger/
‘Le génie de Viktor Schauberger’ d’Alick Bartholomew
Les maitres de leau – Viktor Schauberger – Alexander Lauterwasser – Roland Plocher
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